Véline - tome 1 - Sexe, crime & thérapie : un thriller torride, une romance à suspense

Véline - tome 1 - Sexe, crime & thérapie : un thriller torride, une romance à suspense

by Avril Sinner
Véline - tome 1 - Sexe, crime & thérapie : un thriller torride, une romance à suspense

Véline - tome 1 - Sexe, crime & thérapie : un thriller torride, une romance à suspense

by Avril Sinner

eBook

$7.99 

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Overview

Véline. OK, je vous l’accorde c’est bizarre comme prénom pour un mec. Mais pour toute réclamation, adressez-vous à ma génitrice, vous allez voir, elle est charmante. Que dire sur moi ? Je suis flic à la brigade de répression du proxénétisme, j’ai un patrimoine génétique plutôt séduisant, je ne manque pas d’humour  – enfin, ça dépend pour qui. Et surtout j’adore les femmes. Toutes les femmes. Particulièrement quand elles sont payantes ou en couple. Ma mission dans cette histoire ? Débusquer un tueur en série, infiltrer un univers thérapeutique étrange et au passage braquer ma capitaine. Pourquoi moi ? Parce que la crim patauge et parce, que paraît-il, « j’ai le profil idéal ».
Des déviants sexuels, du sang, des meurtres, une brigade criminelle dépassée, une chef aussi excitante qu’autoritaire… et moi. Sacré cocktail. Que l’enquête commence…
 

Product Details

ISBN-13: 9782016264881
Publisher: BMR
Publication date: 12/01/2017
Series: Véline , #1
Sold by: Hachette Digital, Inc.
Format: eBook
File size: 2 MB
Age Range: 18 Years
Language: French

Read an Excerpt

CHAPTER 1

Le 36

Bordel! Mais qu'est-ce que je fous là? La voiture se gare dans la cour, les deux molosses qui m'encadrent à l'arrière m'extirpent de mon siège en me tirant par les menottes.

— Hé, doucement! Depuis quand se branler dans sa bagnole regarde la Crim?

Ils me traînent sans ménagement à l'intérieur des locaux délabrés du 36, quai des Orfèvres. Je suis un habitué des lieux, il m'arrive d'y venir pour croiser nos enquêtes. Mais y pénétrer menotté, c'est une autre affaire.

Après avoir grimpé les escaliers et capté le regard curieux de collègues que je ne connais que de vue, on me pousse dans un bureau aussi vétuste que le reste du bâtiment.

— Assieds-toi!

Je m'exécute nonchalamment en tendant mes poignets. Le balèze me regarde sans bouger.

— OK, j'ai compris, tu prends ton pied à me voir ligoté! Dites-moi au moins ce que je fais là?

Silence. Un grand blond avec une gueule de premier de la classe s'installe derrière le bureau.

— Bien ... Alors, on aime s'astiquer sur la voie publique?

Je n'y crois pas, je rêve. Je ne suis pas pudique, mais je n'ai pas forcément envie de déballer mes couilles sur la table devant toute la police judiciaire.

— Vous vous emmerdez à la Crim, ou quoi? Détachez-moi, je ne vais pas vous agresser avec ma bite.

Il me fixe longuement. Sans se marrer.

— Détachez-le!

Je frictionne mes poignets, sors mon paquet de clopes de ma poche arrière et en extrais une.

— Je peux?

— Fais comme chez toi ...

Je n'aime pas sa façon de me dévisager, de mater l'anneau à mon oreille, les bagues à mes doigts, avec son sourire niaiseux. Sa gueule ne me revient pas: je sens d'emblée qu'on ne va pas être potes. Il s'adosse à son siège, croise les bras.

— Bon, alors? Tu réponds?

Je souffle la fumée.

— Quoi? Tu veux savoir combien de fois je me branle par semaine? Attends, dis-je en faisant mine de compter dans ma tête et en ébouriffant mes cheveux aussi sombres que son costard.

— À ta place, je ne ferais pas trop le mariole, Iliev.

Putain, comment il connaît déjà mon nom? Ça pue, cette histoire.

— J'étais dans ma bagnole, pas devant une école maternelle. Alors bordel, qu'est-ce que vous me voulez?

— Tu es dans la merde, le Ruskoff. On sait tout sur toi! Tes magouilles avec les putes ... tu te fais de la thune sur leurs culs, souffle-t-il en posant ses avant-bras sur le bureau et en plantant son regard vicieux dans le mien.

Il délire! OK, je ne suis pas un ange, mais jamais je n'abuserais des filles que je côtoie au quotidien. Je les respecte et elles m'apprécient, ce qui facilite mon boulot. Ce type me fout les boules et l'envie de lui exploser la tronche sur son clavier me titille.

— Tu n'es pas très original! T'es comme tous ces cons qui pensent qu'à la BRP on fait du proxénétisme? Qu'aux Stups il n'y a que des drogués? À la Crim, vous êtes quoi? Des serial killers? Va te faire foutre, connard!

— Je ne t'aime pas et s'il n'y avait que moi, je ne ferais pas confiance à ta belle gueule.

Là, il commence à me faire marrer.

— Ah c'est donc ça! Je te plais! Tu t'intéresses à ma queue ... Bon, allez, je me casse.

Je me lève, l'autre débile se redresse, tendu.

— Tu reposes ton cul sur ta chaise, sinon je te coffre avec toute la filière de l'Est!

Sûr de moi, je range tranquillement mes clopes et m'apprête à partir quand la porte s'ouvre brutalement.

— Ça suffit! Eliott, dégage!

J'hallucine. Une tornade brune fait son entrée en rappelant son chien de garde qui part tranquillement se nicher dans un coin de la pièce.

— Iliev, asseyez-vous!

Je cligne des yeux et la regarde s'avancer dans son jean moulant où repose un cul à faire bander toute la PJ. Elle doit faire un bon mètre soixante-quinze, a des jambes interminables ; son flingue dans un holster d'épaule par-dessus son T-shirt blanc met en valeur une magnifique paire de seins.

Que des privilégiés, dans ce service! Ils se prennent pour des dieux et ont même le droit d'embaucher des déesses ...

Légèrement troublé par Lara Croft, je repose mes fesses sur la chaise en bois. Elle s'installe en face de moi et plante son regard bleu dans le mien. Bordel, Véline, concentre-toi! Gère ta bouffée de testostérone, pense avec ton cerveau.

— Bon ... alors, Véline Iliev, né le 28 septembre 1986 à Sofia, de mère française et de père bulgare. Habitant 24 rue Ganneron dans le XVIII et travaillant depuis cinq ans à la brigade de répression du proxénétisme. Vous avez été interpellé ce soir en fâcheuse posture, on dirait.

Je ne la connais pas, je ne l'ai jamais vue – je m'en souviendrais – et elle en sait déjà un paquet sur moi, un peu trop même. Je reste comme un con à la fixer, tandis qu'elle feuillette tranquillement des documents. Merde, c'est mon dossier de police!

— On dit que vous êtes un bon élément, vos supérieurs ne tarissent pas d'éloges sur vous, même s'ils vous trouvent parfois un peu caractériel et impulsif.

Elle est calme, parle bien. Qui c'est, cette gonzesse qui ne ressemble en rien à la plupart de mes collègues féminines? Je reprends de l'assurance et me penche sur le bureau, réduisant la distance entre nous. En plus, elle sent divinement bon.

— Mais vous êtes qui, vous? D'où vous sortez? Vous tournez un épisode des Experts ou, vous aussi, vous vous intéressez à mon anatomie?

Je plonge mon arme de destruction massive (c'est-à-dire mes yeux bleus) dans les siens et lui décoche mon sourire en coin le plus séduisant. Allez, ma belle, laisse-toi charmer et je répondrai avec plaisir à toutes tes questions. Elle me toise sans ciller. Pas commode en fin de compte, la brunette.

— Fermez votre gueule, Véline Iliev! Vous pouvez vous branler autant que vous voulez, j'en ai rien à foutre, voire même ça m'arrange, mais ici, c'est moi qui pose les questions! Contentez-vous de répondre et d'obéir. Et il va falloir vous y faire car je vous annonce que vous allez travailler pour nous, enfin, plus précisément, pour moi!

Je hausse les sourcils.

— On va vous infiltrer dans le cadre d'une enquête qui commence à mettre tout le monde sur les nerfs.

Ça y est, tout s'explique. Ils ont besoin de moi et se permettent sans le moindre scrupule de prendre possession de ma personne. Je retrouve illico mon assurance, me sentant en position de force. Ma poulette, on ne me dit pas ce que je dois faire, on me demande. Je m'affale sur ma chaise, étends mes jambes et allume une autre clope en me marrant.

— Vous êtes en manque d'effectifs ou en panne d'inspiration? Honnêtement, vous croyez vraiment que je vais venir faire le zombie pour votre service de jet- setters de la police? Vous me faites tous marrer à la criminelle, vous pensez que tout le monde rêve de bosser avec vous. Eh bien, désolé de te décevoir ma jolie, mais je préfère les putes.

Elle me scrute en pianotant sur la table. Sa bouche est redoutablement sexy. Éventuellement, je veux bien la sauter, mais pas question de m'installer ici.

— Iliev ... je crois que vous n'avez pas bien compris! Je ne vous demande pas votre avis. L'ordre d'affectation est déjà signé pour cette mission. Sauf si vous préférez que je vous colle un rapport pour délit sexuel sur la voie publique et une obligation de soins?

Merde, je crois que je suis en train de me faire baiser. Je vois déjà ma réputation dégringoler. Elle jubile: — Donc nous voilà collègues et, sur cette enquête, je suis votre supérieure.

Quoi? Il n'est pas question que je finisse comme le clébard dans mon dos. Cette nana doit avoir à peine mon âge et a dû être affectée ici parce qu'elle s'est tapée tout le ministère – ou parce qu'elle est sortie première des concours, et dans ce cas c'est une putain d'intello.

Je la mate pendant de longues secondes, cherchant un moyen de m'extirper de ce merdier.

— Pourquoi moi? Vous avez tripé sur ma photo?

Je lui décoche mon plus beau rictus. Elle me regarde de haut en bas et j'adore ça, certain qu'elle apprécie mon physique plutôt avantageux.

— Véline, votre côté beau gosse ne m'intéresse pas! C'est plutôt votre queue, et ce que vous faites avec, qui fait que vous avez été choisi.

Je reste sans voix. C'est moi qui vais devoir coucher pour être promu? Je suis en plein délire.

— Vous voulez que je fasse la pute pour votre service?

Elle rit franchement, prend une cigarette dans mon paquet et l'allume. Accoudée sur la table, elle me fixe à travers la fumée. Tous mes sens se réveillent d'un coup: je suis en manque et cette gonzesse excite ma libido.

— En quelque sorte ... mais c'est surtout votre talent de branleur qui a éveillé notre intérêt. Vous faites ça tellement bien que dorénavant vous allez être payé pour vous tripoter. Il y a pire comme mission, non?

Ken, dans mon dos, rigole un peu trop à mon goût. Bon, OK. Ils sont en train de se payer ma tête et elle est peut-être bandante, la fliquette, mais là elle ne chauffe pas que mon entrejambe. Je vais me la faire, mais pas dans le bon sens.

— Écoute, ma poulette, si tu veux profiter de mon savoir-faire, ne te gêne surtout pas, mais je préfère que ça reste entre nous deux ...

Elle se lève brutalement, jette sa clope dans le cendrier, plaque ses mains sur le bureau et se penche vers moi.

— Bon ... Il est 3 heures du mat. Iliev, je vous veux ici à 9 heures, en pleine forme, pour vous présenter au reste de l'équipe et vous expliquer votre mission.

— 9 heures? Tu rigoles, je fais des heures sup, là! Mais je te propose de me ramener, on gagnera du temps, tu pourras me briefer autant que tu veux.

Je me marre tellement je deviens lourd.

— Je ne vous ai pas autorisé à me tutoyer. Eliott, occupe-toi de lui!

CHAPTER 2

La mission

8 h 50, je finis mon café, enfonce mon flingue dans son holster et enfile mon sweat, mon blouson en cuir par-dessus. Je suis à la bourre mais rien à foutre, c'est pas miss Police Nationale qui va me mettre la pression. Il faut que je passe un coup de fil à mon chef à la BRP pour éclaircir cette histoire et lui demander de me rapatrier au plus vite.

Je prends mes clefs, mes clopes, fulmine en réalisant que ma bagnole est restée à Barbès. Mon casque sous le bras, je claque la porte. Assis sur ma bécane, j'allume une clope et appelle la brigade.

— Salut, Marc, passe-moi le chef, magne-toi!

Ma cigarette plantée entre les lèvres, j'attends.

— Bonjour, Véline, je suppose que tu as été mis au courant.

— C'est le moins qu'on puisse dire! Putain, c'est quoi ce bordel, Ced! Je ne veux pas travailler pour ces tocards, alors sors-moi de ce merdier!

— Je suis désolé! Je ne peux rien faire, les ordres viennent de plus haut. Crois-moi, ça me fait chier!

— Pas autant que moi!

— Écoute, tu finis ta mission et après on avise! C'est intéressant pour toi, pour ta carrière.

— Ouais c'est ça, sors-moi ton baratin de fonctionnaire. C'est quoi, cette mission?

— Je n'en sais rien ...

Je balance ma clope, d'une humeur massacrante.

— OK ... Je te laisse! On se rappelle.

Je mets mon casque, fait rugir ma Ducati Monster et m'engage en zigzaguant dans la circulation parisienne. Au 36, je gare ma moto dans la cour et entre dans le poulailler. Comme un con dans l'entrée, je réalise ne connaître ni le nom ni le grade de ma nouvelle collègue. Ça m'emmerde, je me retiens de faire demi-tour.

Un visage connu me salue, je ne me souviens plus du nom de ce type mais il peut m'aider. Je l'interpelle, ne sachant pas comment lui indiquer ce que je recherche.

— Salut ... Euh ...tu ne sais pas où je peux trouver une grande brune qui travaille ici? Lieutenant ou capitaine?

— Alors, le Ruskoff, on vient chasser dans nos effectifs? dit-il en se marrant.

Quel abruti! Au moins, il se rappelle de moi et du surnom que tout le monde me donne. Ça m'agace, je ne suis pas russe mais bulgare. Rien n'y fait, quand ils te collent une étiquette, c'est mort.

— Ouais ... Balance l'info, je suis pressé.

— Il y en a pas mal des brunes. Si tu dois toutes les faire, tu vas y passer la journée, balance-t-il en se grattant la tête.

Putain, il n'arrange pas mon humeur.

— Je ne sais pas. Une brune, plutôt bonne avec un ...

— ... beau cul! Oui, c'est Mila, je pense. Continue jusqu'à l'avant-dernier étage, elle doit être en salle de réunion. T'es un veinard.

Pas vraiment! Je me passerais bien de ce genre de rencard. Je le laisse finir tout seul, entame ma montée, longe le couloir et l'aperçois dans une salle, assise sur une table. Je m'avance. Tous les regards se tournent vers moi. Deux types, Eliott, une petite blonde et Lara Croft. Appuyé au chambranle, je croise les jambes en affichant mon plus beau sourire.

— Salut, la compagnie!

— Vous êtes en retard! rétorque froidement Miss Monde en me fusillant du regard.

— Je me suis perdu dans les étages et vous aviez oublié de me préciser votre petit nom.

— Je vous présente le lieutenant Véline Iliev, il nous vient tout droit de la BRP et va infiltrer le groupe thérapeutique. Vous allez voir, il est charmant! dit-elle en reportant son attention moqueuse sur son auditoire.

Elle se lève, m'invite à la suivre. Tout en marchant derrière elle, je profite du spectacle. Habillée comme hier, seul le T-shirt blanc est devenu noir. Ses cheveux sont relevés en queue de cheval et l'envie de tirer dessus me démange.

Elle ouvre une porte sur laquelle une inscription indique: « Capitaine Mila Debreve ». OK, c'est ma supérieure, il n'y a plus de doute. Je calme mes velléités de décoiffage, entre et m'installe sagement sur une chaise. Elle s'assied derrière son bureau où s'amoncelle un tas de paperasse, m'observe un temps: je lui souris.

— Iliev, j'imagine que vous êtes impatient de savoir en quoi va consister votre nouveau job?

— On peut dire ça comme ça.

— Vous allez devoir intégrer un groupe de parole dans un centre psychologique, reprend-elle, le sourire aux lèvres.

Putain, ce n'est pas trop tôt! Elle se déride.

— Comme patient ou comme psy?

— Comme patient. Sinon nous aurions choisi quelqu'un d'autre! s'exclame-t-elle en riant franchement.

Elle n'a pas vraiment tort, en plus je ne peux pas les encadrer, ces suceurs de cerveau.

— Quel genre de groupe?

Son silence m'inquiète. Putain, ils vont m'envoyer chez les tarés!

— Un groupe pour des personnes qui souffrent de leurs pratiques ou addictions sexuelles.

Le souffle coupé, je n'ose pas imaginer ma tête en la voyant hausser les sourcils et se mordre la joue pour ne pas s'esclaffer. J'inspire profondément et me pince l'arête du nez pour me calmer.

— Attendez ... vous me demandez de me faire passer pour un putain de pervers? Non, pas possible, jouer les pédophiles, les violeurs ou je ne sais quoi d'autre, c'est trop pour moi! Je vais leur défoncer la gueule dès qu'ils vont ouvrir la bouche. À la BRP, j'en ai vu des putes amochées par leurs soins, je vais faire un massacre!

Elle reprend son sérieux.

— Véline, détendez-vous. Ce sont juste des personnes qui veulent parler de leur sexualité qu'ils jugent eux-mêmes difficile à vivre, car envahissante ou trop particulière. Il n'y a rien de dangereux ou d'interdit dans leurs comportements. S'ils sont dans ce groupe, c'est de leur plein gré: ils sont inoffensifs.

— Alors pourquoi m'envoyer chez ces cinglés si c'est une réunion Tupperware?

— Pour ça, répond-elle en étalant des clichés devant moi.

J'observe attentivement les photos d'un type bien refroidi dont les parties génitales ont été arrachées et enfoncées au fond de sa gorge. C'est dégueulasse, mais je ne peux m'empêcher de sourire. Il faut détendre l'ambiance et mon humeur s'arrange.

— Je ne sais pas ce qu'il a pu faire, ce gars-là, mais on lui a littéralement fait bouffer ses couilles!

Elle marque un temps d'arrêt et me scrute. La capitaine ne semble pas accrocher avec mon humour.

— Iliev, ce gars-là, comme vous dites, était un patient du groupe! Il souffrait de masturbation compulsive. On l'a retrouvé chez lui et tout nous laisse penser que ce n'est que le premier d'une longue liste.

Je me retiens de ne pas partir dans une crise de fou rire.

— Vous êtes à la recherche d'un malade mental qui zigouille tous les adeptes de la masturbation! Non, mais sérieusement, il va y avoir une extermination de la gent masculine!

— Un deuxième patient a été tué, il y a une semaine: c'est une femme. On l'a retrouvée dans sa baignoire, étranglée par son tuyau de douche. Elle était sex addict et en souffrance.

(Continues…)



Excerpted from "Veline: Tome 1 - Sexe, Crime et thérapie"
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