La poche secrete
★« Le livre attire la sympathie des lecteurs et retient leur attention. […] Ce récit inspiré d’une période tragique de l’histoire a été adapté pour les jeunes par une équipe de créateurs autochtones. » Critique étoilée parue dans le School Library Journal

Voici l’histoire vraie de jeunes filles d’un pensionnat pour Autochtones qui ont cousu des poches secrètes dans leurs robes pour cacher de la nourriture afin de ne pas mourir de faim.

Mary avait quatre ans lorsqu’on l’a emmenée pour la première fois au pensionnat pour Autochtones de Lejac, bien loin de sa maison et de sa famille. Toujours affamées et frigorifiées, la jeune Mary et les autres filles vivaient sans confort. On leur interdisait de parler leur langue, le dakelh. De plus, les religieuses et le prêtre les surveillaient constamment, prêts à les punir. Mary et les autres filles ont eu une idée de génie : s’inspirant des connaissances de leurs mères, de leurs tantes et de leurs grands-mères, qui étaient toutes des couturières très habiles, les filles ont cousu des poches dans leurs vêtements pour y dissimuler de la nourriture. Elles rassemblaient des bouts de tissu en cachette et cousaient la nuit, puis elles cachaient des pommes, des carottes et des morceaux de pain dans leurs poches secrètes pour les partager avec les pensionnaires plus jeunes.

L’autrice s’est inspirée de l’expérience de sa mère dans un pensionnat pour Autochtones pour écrire La poche secrète, une histoire de survie et de résilience dans un contexte de génocide et de cruauté. Ce livre est aussi une façon de célébrer la résistance silencieuse à l’injustice des pensionnats et la façon dont les connaissances en couture transmises de mère en fille ont donné un avenir à ces jeunes Autochtones, un point de couture à la fois.

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La poche secrete
★« Le livre attire la sympathie des lecteurs et retient leur attention. […] Ce récit inspiré d’une période tragique de l’histoire a été adapté pour les jeunes par une équipe de créateurs autochtones. » Critique étoilée parue dans le School Library Journal

Voici l’histoire vraie de jeunes filles d’un pensionnat pour Autochtones qui ont cousu des poches secrètes dans leurs robes pour cacher de la nourriture afin de ne pas mourir de faim.

Mary avait quatre ans lorsqu’on l’a emmenée pour la première fois au pensionnat pour Autochtones de Lejac, bien loin de sa maison et de sa famille. Toujours affamées et frigorifiées, la jeune Mary et les autres filles vivaient sans confort. On leur interdisait de parler leur langue, le dakelh. De plus, les religieuses et le prêtre les surveillaient constamment, prêts à les punir. Mary et les autres filles ont eu une idée de génie : s’inspirant des connaissances de leurs mères, de leurs tantes et de leurs grands-mères, qui étaient toutes des couturières très habiles, les filles ont cousu des poches dans leurs vêtements pour y dissimuler de la nourriture. Elles rassemblaient des bouts de tissu en cachette et cousaient la nuit, puis elles cachaient des pommes, des carottes et des morceaux de pain dans leurs poches secrètes pour les partager avec les pensionnaires plus jeunes.

L’autrice s’est inspirée de l’expérience de sa mère dans un pensionnat pour Autochtones pour écrire La poche secrète, une histoire de survie et de résilience dans un contexte de génocide et de cruauté. Ce livre est aussi une façon de célébrer la résistance silencieuse à l’injustice des pensionnats et la façon dont les connaissances en couture transmises de mère en fille ont donné un avenir à ces jeunes Autochtones, un point de couture à la fois.

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★« Le livre attire la sympathie des lecteurs et retient leur attention. […] Ce récit inspiré d’une période tragique de l’histoire a été adapté pour les jeunes par une équipe de créateurs autochtones. » Critique étoilée parue dans le School Library Journal

Voici l’histoire vraie de jeunes filles d’un pensionnat pour Autochtones qui ont cousu des poches secrètes dans leurs robes pour cacher de la nourriture afin de ne pas mourir de faim.

Mary avait quatre ans lorsqu’on l’a emmenée pour la première fois au pensionnat pour Autochtones de Lejac, bien loin de sa maison et de sa famille. Toujours affamées et frigorifiées, la jeune Mary et les autres filles vivaient sans confort. On leur interdisait de parler leur langue, le dakelh. De plus, les religieuses et le prêtre les surveillaient constamment, prêts à les punir. Mary et les autres filles ont eu une idée de génie : s’inspirant des connaissances de leurs mères, de leurs tantes et de leurs grands-mères, qui étaient toutes des couturières très habiles, les filles ont cousu des poches dans leurs vêtements pour y dissimuler de la nourriture. Elles rassemblaient des bouts de tissu en cachette et cousaient la nuit, puis elles cachaient des pommes, des carottes et des morceaux de pain dans leurs poches secrètes pour les partager avec les pensionnaires plus jeunes.

L’autrice s’est inspirée de l’expérience de sa mère dans un pensionnat pour Autochtones pour écrire La poche secrète, une histoire de survie et de résilience dans un contexte de génocide et de cruauté. Ce livre est aussi une façon de célébrer la résistance silencieuse à l’injustice des pensionnats et la façon dont les connaissances en couture transmises de mère en fille ont donné un avenir à ces jeunes Autochtones, un point de couture à la fois.


Product Details

ISBN-13: 9781459841413
Publisher: Orca Book Publishers
Publication date: 05/13/2025
Pages: 40
Product dimensions: 8.75(w) x 10.75(h) x 0.25(d)
Language: French
Age Range: 6 - 8 Years

About the Author

Peggy Janicki is an award-winning Dakelh teacher from the Nak’azdli Whut’en First Nation. She holds a master of education in Indigenous Knowledges/Indigenous Pedagogies (UBC). Peggy has worked for decades to reveal the hidden stories and histories of Indigenous Peoples, as featured in UBC’s massive open online course (MOOC) Reconciliation through Indigenous Education. When her mother shared a secret story that changed all their lives and highlighted the impacts of colonization, Peggy also became a storyteller. She lives in Chilliwack, British Columbia.

Eastern Fraser Valley–based artist Carrielynn Victor is a descendant of Coast Salish ancestors that have been sustained by S’olh Temexw (their land) since time immemorial and Western European ancestors that settled around Northern Turtle Island beginning in the 1600s. Along with owning and operating an art practice, Carrielynn maintains a communal role as a plant practitioner, and is the Manager of Cheam First Nation’s Environmental Consultancy. The philosophy and responsibilities of these land-based communal roles are fundamental for informing the story, style and details of her artwork. With ancient and modern design principles combined, Carrielynn’s professional artistic practice takes the form of murals, canvas paintings, drums, paddles and, in recent years, illustrations for scientific reports and children’s books. She lives in Chilliwack, British Columbia.

Over the past twenty years, Rachel Martinez has published more than eighty translations in various genres for renowned French-speaking publishers, including novels, biographies, essays and children's literature. She was part of the advisory board of the Banff International Literary Translation Center from 2017 until its dissolution in 2019, and served for several years on the board of directors of the Literary Translators Association of Canada. A mention on the 2014 Honor List of the International Board on Books for Young People (IBBY) and the 2017 Quebec Booksellers Prize (in the 12-17 years old, outside Quebec category) are among the marks of recognition she has received. In 2005, Rachel won the Canadian Governor General's Award in French translation for Glenn Gould, une vie by Kevin Bazzana and was also a finalist in 2013 and 2015.

What People are Saying About This

Sean Carleton

« Magnifiquement illustré et raconté avec puissance, La poche secrète amplifie les voix et les expériences des survivants des pensionnats pour Autochtones. Ce faisant, Peggy Janicki et Carrielynn Victor apportent une contribution importante au travail qui consiste à faire passer la vérité avant la réconciliation. »

Christy Jordan-Fenton

« En révélant au monde l’histoire de sa mère, Peggy Janicki a allumé un feu puissant pour la guérison intergénérationnelle. C’est une illustration vivante de la façon dont le savoir traditionnel a aidé des enfants des pensionnats à devenir des héros pour eux-mêmes et pour les autres. En plus de documenter méticuleusement le quotidien des élèves du pensionnat de Lejac, Janicki a mis en lumière les efforts ingénieux et courageux que ces jeunes ont déployés pour survivre. Ce livre reposant sur les atouts est adapté aux jeunes lecteurs et très captivant. »

Monique Gray Smith

« Dans ce récit d’une vie avant, pendant et après les pensionnats, Peggy Janicki nous entraîne dans un voyage en quête de vérité à la fois doux et puissant. Elle nous rappelle le génie qui est en nous, l’importance de prendre soin des autres et, bien sûr, l’amour. Cette histoire émouvante m’a séduite dès la première page et je suis certaine qu’elle influencera les cœurs et les esprits pendant des générations.»

From the B&N Reads Blog

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