Discours sur la premiere decade de Tite-Live

Discours sur la premiere decade de Tite-Live

by Niccolò Machiavelli
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by Niccolò Machiavelli

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Overview

Les Discours sur la première décade de Tite-Live sont divisés en trois livres. Le premier livre concerne la politique intérieure. Machiavel y montre son admiration pour la Rome antique: Quand je considère, d'une part, la vénération qu'inspire l'antiquité, et, laissant de côté une foule d'autres exemples, combien souvent on a acheté au poids de l'or un fragment d'une statue antique pour l'avoir sans cesse sous les yeux, pour en faire l'honneur de sa maison . Il désigne la Rome antique comme un modèle de gouvernement et compare aussi différents modèles qui servent encore de nos jours, tels que la médecine. Il constate que la Rome antique ne sert pas de modèle politique et c'est la raison pour laquelle il a écrit ces livres: Résolu d'arracher les hommes à cette erreur, j'ai cru nécessaire d'écrire, sur chacun des livres de Tite-Live que l'injure du temps a épargnés, tout ce qu'en comparant les événements anciens et les modernes je jugerais propre à faciliter l'intelligence, afin que ceux qui liraient mes discours pussent retirer de ces livres l'utilité que l'on doit rechercher dans l'étude de l'histoire . Par la suite, Machiavel propose une théorie sur l'évolution de la politique depuis l'antiquité, il cite trois types de gouvernement: les monarchiques, les aristocratiques et les populaires, mais aussi trois autres formes de gouvernement mais mauvais despotiques, oligarchiques et la démocratie.

Product Details

ISBN-13: 9781505568509
Publisher: CreateSpace Publishing
Publication date: 12/16/2014
Pages: 340
Product dimensions: 6.69(w) x 9.61(h) x 0.71(d)
Language: French

About the Author

Nicolas Machiavel (en italien: Niccolò di Bernardo dei Machiavegli; Niccolò Machiavelli), est un penseur italien de la Renaissance, philosophe, théoricien de la politique, de l'histoire et de la guerre, né le 3 mai 1469 à Florence, en Italie et mort le 21 juin 1527 dans la même ville.
Machiavel a donné en français naissance à plusieurs termes: machiavélisme et ses dérivés, qui font référence à une interprétation politicienne cynique de l'œuvre de Machiavel et machiavélien qui fait directement référence aux concepts développés par Machiavel dans son œuvre.

Né à Florence, dans une famille noble, Nicolas Machiavel est le fils de Bernard Machiavel, trésorier pontifical à Rome et docteur en droit, et de Bartolomea de' Nelli.
Ses études terminées, il est une première fois candidat à un poste de l'administration florentine le 19 février 1498 mais n'est pas retenu. Après la condamnation au bûcher de Jérôme Savonarole, il est nommé secrétaire de la deuxième chancellerie et prend officiellement son poste le 19 juin 1498. Il mène à ce titre des missions diplomatiques, en Italie comme à l'étranger, se forgeant ainsi déjà une opinion sur les mœurs politiques de son temps. Il rédige à ces occasions des dépêches diplomatiques, réunies sous le titre Les Relations diplomatiques, ainsi que des rapports (Rapports sur les choses de l'Allemagne, Rapport sur les choses de la France). En 1512, les troubles à Florence le condamnent à l'exil. C'est à ce moment-là qu'il écrit Le Prince dans lequel on trouve les prémices de sa conception politique.
Les Médicis reviennent au pouvoir à Florence, à la suite de la défaite de Prato en 1512. Machiavel est soupçonné d'avoir participé à la conjuration fomentée par Pietro Paolo Boscoli(it), il est emprisonné, torturé, puis interdit de quitter le territoire florentin pour un an, se retire ensuite dans sa propriété de Sant'Andrea in Percussina, frazione de San Casciano in Val di Pesa. Machiavel y commence son Discours sur la première décade de Tite-Live, où, parlant de l'Antiquité, il dresse en fait une critique de la situation politique italienne de son époque.

Table of Contents

Preface, par Claude Lefort Notice, par Annick Pelissier Reperes bibliographiques majeurs Nicolas Machiavel a Buondelmonti et Rucellai

Livre premier Avant-propos Chapitre premier. Quels ont ete les commencements des villes en general, et surtout ceux de Rome Chapitre II. Des differentes formes de republiques. Quelles furent celles de la Republique romaine Chapitre III. Des evenements qui furent cause de la creation des tribuns a Rome. Leur etablissement perfectionna la Constitution Chapitre IV. Que la desunion du Senat et du peuple a rendu la Republique romaine puissante et libre Chapitre V. A qui plus surement confier la garde de la liberte, aux grands ou au peuple, et lequel des deux cause plus souvent des troubles, de celui qui veut acquerir ou de celui qui veut conserver—Chapitre VI. S'il etait possible d'etablir a Rome un gouvernement qui fit cesser les inimities qui existaient entre le Senat et le peuple Chapitre VII. Combien les accusations sont necessaires dans une republique pour y maintenir la liberte Chapitre VIII. Autant les accusations sont utiles dans une republique, autant la calomnie y est pernicieuse Chapitre IX. Qu'il faut etre seul pour fonder une republique ou pour la reformer en entier Chapitre X. Qu'autant sont dignes d'eloges les fondateurs d'une republique ou d'une monarchie, autant meritent de blame les auteurs d'une tyrannie Chapitre XI. De la religion des Romains Chapitre XII. Qu'il est important de faire grand cas de la religion. Perte de l'Italie pour avoir, par les intrigues de la cour de Rome, manque a cette maxime Chapitre XIII. Comment les Romains se servaient de la religion pour etablir des lois, favoriser leurs entreprises et arreter les seditions Chapitre XIV. Que les Romains interpretaient les auspices suivant le besoin qu'ils en avaient qu'ils mettaient infiniment de prudence a paraitre observer leur religion dans les occasions memes ou ils etaient forces de manquer a son observance qu'ils punissaient quiconque avait la temerite de la mepriser Chapitre XV. Comment les Samnites, dans une occasion desesperee, ont recours a la religion Chapitre XVI. Qu'un peuple accoutume a vivre sous un prince conserve difficilement sa liberte, si par hasard il devient libre Chapitre XVII. Qu'un peuple corrompu qui devient libre peut bien difficilement conserver sa liberte Chapitre XVIII. De quelle maniere, dans un Etat corrompu, on pourrait conserver un gouvernement libre s'il y existait deja, ou l'y introduire s'il n'y etait pas auparavant Chapitre XIX. Qu'un Etat qui a un excellent commencement peut se soutenir sous un prince faible mais sa perte est inevitable, quand le successeur de ce prince faible est faible comme lui Chapitre XX. Qu'une succession de deux grands princes produit de grands effets et que, comme les republiques bien constituees ont necessairement une succession d'hommes vertueux, elles doivent s'etendre et s'augmenter considerablement Chapitre XXI. Combien meritent d'etre blames le prince ou la republique qui n'ont point d'armee nationale Chapitre XXII. Ce qu'il y a de remarquable dans le combat des Horaces et des Curiaces Chapitre XXIII. Qu'on ne doit point hasarder toute sa fortune sans employer toutes ses forces et que, pour cela, souvent il est dangereux de se borner a garder des passages Chapitre XXIV. Les republiques bien constituees decernent des recompenses et des peines, et ne compensent jamais les unes par les autres Chapitre XXV. Que si l'on veut changer la constitution d'un Etat libre, on doit au moins conserver quelque ombre de ses anciennes institutions Chapitre XXVI. Qu'un prince nouvellement etabli dans une ville ou dans une province conquise doit tout renouveler Chapitre XXVII. Que les hommes sont rarement tout bons ou tout mauvais Chapitre XXVIII. Pourquoi les Romains furent moins ingrats envers leurs concitoyens que ne le fut le peuple d'Athenes envers les siens Chapitre XXIX. Quel est le plus ingrat d'un peuple ou d'un prince Chapitre XXX. Quels moyens doit employer un prince ou une republique pour eviter le vice de l'ingratitude, et comment un general ou un citoyen peuvent eviter d'en etre les victimes Chapitre XXXI. Que les generaux romains ne furent jamais punis rigoureusement pour des fautes commises ils ne le furent meme pas quand leur ignorance et leurs mauvaises operations avaient occasionne les plus grands dommages a la republique Chapitre XXXII. Qu'une republique ou un prince ne doivent pas differer quand il s'agit de subvenir aux besoins de leurs sujets Chapitre XXXIII. Quand un mal est parvenu au plus haut point dans un Etat, il est plus sage de temporiser que de heurter de front Chapitre XXXIV. Que la dictature fit toujours du bien, et jamais de mal a la republique romaine. C'est l'autorite dont les citoyens s'emparent qui nuit a la liberte, et non celle qui est conferee par les suffrages libres du peuple Chapitre XXXV. Pourquoi, dans Rome, la creation des decemvirs fut-elle nuisible a la liberte, quoiqu'ils eussent ete nommes par les suffrages libres du peuple—Chapitre XXXVI. Que les citoyens qui ont ete revetus des plus grands emplois ne doivent pas dedaigner les moindres Chapitre XXXVII. Des troubles causes a Rome par la loi agraire qu'il est tres dangereux dans une republique de faire une loi qui fasse revenir sur le passe et qui detruise une ancienne coutume de l'Etat Chapitre XXXVIII. Les republiques faibles sont irresolues et ne savent ni deliberer ni prendre un parti. Si quelquefois elles en prennent un, c'est plus par necessite que par choix Chapitre XXXIX. Les memes accidents arrivent quelquefois chez des peuples bien differents Chapitre XL. La creation du decemvirat a Rome, et ce qu'il faut y remarquer ou l'on considere entre autres choses comment le meme accident peut sauver ou perdre une republique Chapitre XLI. Il est aussi imprudent qu'inutile de passer sans gradation et de sauter, pour ainsi dire, de la modestie a l'orgueil, de la douceur a la cruaute Chapitre XLII. Combien les hommes peuvent aisement se corrompre Chapitre XLIII. Ceux qui combattent pour leur propre gloire sont de bons et fideles soldats Chapitre XLIV. Une multitude sans chef ne peut rien faire et l'on ne doit pas se porter a des menaces avant de s'etre empare de l'autorite Chapitre XLV. Il est de mauvais exemple de ne pas observer une loi, surtout de la part de ceux qui l'ont faite, et rien de plus dangereux pour ceux qui gouvernent une ville que de renouveler chaque jour les reproches et les punitions de torts anciens Chapitre XLVI. Les hommes s'elevent d'une ambition a une autre. On songe d'abord a se defendre, ensuite a attaquer Chapitre XLVII. Que les hommes, quoique sujets a se tromper sur le general, ne se trompent pas sur le particulier Chapitre XLVIII. Qui veut empecher qu'une magistrature soit deferee a un homme vil ou mechant doit la faire demander par un homme plus vil et plus mechant encore, ou par ce qu'il y a dans l'Etat de plus illustre et de plus vertueux Chapitre XLIX. Si les villes, libres des leur origine, comme Rome, ont de la difficulte a trouver des lois qui les maintiennent en liberte, celles qui sont nees dans la servitude eprouvent l'impossibilite d'y reussir Chapitre L. Que nul conseil, nul magistrat ne doit pouvoir arreter la marche des affaires dans un Etat Chapitre LI. Qu'une republique ou un prince doit feindre de faire par generosite ce a quoi la necessite le contraint Chapitre LII. Pour reprimer les exces et le danger d'un ambitieux en credit dans une republique, il n'est pas de plus sur moyen ni qui fasse moins d'eclat que d'occuper avant lui le chemin qui conduit a cette elevation Chapitre LIII. Qu'un peuple souvent desire sa ruine, trompe par une fausse apparence de biens, et qu'on le met facilement en mouvement par des esperances seduisantes et des promesses magnifiques Chapitre LIV. Combien est puissante l'autorite d'un grand homme pour calmer une multitude echauffee Chapitre LV. Combien il est aise de faire marcher toutes choses dans une republique ou le peuple n'est pas encore corrompu ou l'egalite regne, il ne peut y avoir de principat ou l'egalite ne se trouve pas, il ne peut y avoir de republique Chapitre LVI. Que les grands changements qui arrivent dans une ville ou un Etat sont toujours annonces par des evenements, ou predits Chapitre LVII. Que le peuple en masse est tres courageux separe, il est tres faible Chapitre LVIII. Qu'un peuple est plus sage et plus constant qu'un prince Chapitre LIX. A qui d'un peuple ou d'un prince peut-on se fier davantage, comme allie Chapitre LX. Que le consulat et toute autre magistrature a Rome se donnaient sans egard a l'age

Livre second Avant-propos Chapitre premier. Laquelle a le plus contribue a la grandeur de l'empire romain, de la vertu ou de la fortune—Chapitre II. Quels furent les peuples que les Romains eurent a combattre, et combien ils furent opiniatres a defendre leur liberte Chapitre III. Rome s'agrandit en ruinant les villes voisines et en accordant facilement aux etrangers la qualite de citoyens Chapitre IV. Les republiques ont employe trois moyens pour s'agrandir Chapitre V. Que les changements de religion et de langue, et les accidents des deluges et des pestes effacent la memoire des choses Chapitre VI. Comment les Romains faisaient la guerre Chapitre VII. Quelle quantite de terrain les Romains accordaient-ils a chaque colon—Chapitre VIII. Pour quelles raisons les peuples abandonnent-ils leur patrie pour se repandre dans des pays etrangers Chapitre IX. Quels sont les sujets ordinaires de guerre entre les souverains Chapitre X. Que l'argent n'est pas le nerf de la guerre, quoique ce soit l'opinion generale Chapitre XI. Qu'il n'est pas sage de s'allier avec un prince qui a plus de reputation que de force Chapitre XII. Lequel vaut mieux, lorsqu'on craint d'etre attaque, de porter la guerre chez son ennemi ou de l'attendre chez soi Chapitre XIII. Pour s'elever d'un etat mediocre a un rang eleve, la ruse sert plus que la force Chapitre XIV. Que les hommes se trompent bien des fois en croyant qu'a force de soumission on desarme la hauteur Chapitre XV. Que les Etats faibles sont toujours indecis, et la lenteur a se determiner est toujours nuisible Chapitre XVI. Combien les armees modernes different des anciennes Chapitre XVII. Comment on doit apprecier l'artillerie dans nos armees modernes, et si l'opinion qu'on en a generalement est fondee en raison Chapitre XVIII. Qu'il est prouve par l'exemple des Romains qu'on doit faire plus de cas de l'infanterie que de la cavalerie Chapitre XIX. Que les acquisitions d'une republique mal constituee, et qui ne prend pas pour modele de conduite celle des Romains, la menent plutot a sa ruine qu'a un accroissement de puissance. Chapitre XX. A quel peril s'exposent les princes ou les republiques qui se servent de troupes auxiliaires ou mercenaires Chapitre XXI. Le premier preteur que les Romains envoyerent hors de Rome fut pour Capoue, quatre cents ans apres qu'ils avaient commence a faire la guerre Chapitre XXII. Combien sont errones souvent les jugements que les hommes portent sur les grandes choses Chapitre XXIII. Comment les Romains evitaient les partis mitoyens a l'egard de leurs sujets, quand ils croyaient avoir une decision a prendre Chapitre XXIV. Les forteresses sont en general plus nuisibles qu'utiles Chapitre XXV. Que c'est prendre un mauvais parti que de profiter de la desunion qui regne dans une ville pour l'attaquer et s'en rendre maitre Chapitre XXVI. Les temoignages de mepris et les injures n'attirent que de la haine, sans profit pour qui les emploie Chapitre XXVII. Les princes et les republiques sages doivent se contenter de vaincre, car on perd parfois tout a vouloir trop gagner Chapitre XXVIII. Combien il est dangereux pour une republique ou pour un prince de ne pas venger les torts faits au public ou aux particuliers Chapitre XXIX. La fortune aveugle l'esprit des hommes, quand elle ne veut pas qu'ils s'opposent a ses desseins Chapitre XXX. Les republiques et les princes vraiment puissants n'achetent pas des allies a prix d'argent c'est par leur courage et la reputation de leurs forces qu'ils s'en attirent Chapitre XXXI. Qu'il est dangereux de se fier a des exiles Chapitre XXXII. De quelle maniere les Romains attaquaient les villes Chapitre XXXIII. Les Romains laissaient leurs generaux parfaitement maitres de leurs operations

Livre troisieme Chapitre premier. Veut-on qu'une religion ou une republique durent longtemps, il faut les ramener souvent a leur principe Chapitre II. Combien il y a de sagesse a jouer pour un temps la folie ! Chapitre III. Qu'il est necessaire pour maintenir une liberte nouvellement acquise, comme Brutus, de massacrer ses enfants Chapitre IV. Qu'un prince ne peut vivre en surete dans un Etat tant que vivent ceux qu'il en a depouilles Chapitre V. Qu'est-ce qui fait perdre le trone a un roi qui en jouit par succession—Chapitre VI. Des conspirations Chapitre VII. D'ou vient que le passage de la liberte a la servitude, et de la servitude a la liberte, coute quelquefois beaucoup de sang, et que quelquefois il n'en coute pas du tout Chapitre VIII. Quiconque veut operer des changements dans une republique doit examiner dans quel etat elle se trouve Chapitre IX. Qu'il faut changer suivant les temps, si l'on veut toujours avoir des succes Chapitre X. Qu'un general ne peut eviter une bataille lorsque l'ennemi veut la livrer a quelque prix que ce soit Chapitre XI. Quiconque a beaucoup d'ennemis a combattre est sur de les vaincre, quoiqu'il leur soit inferieur en force, s'il peut soutenir leur premier effort Chapitre XII. Comment un habile general doit mettre ses soldats dans la necessite de se battre, et procurer a ceux de l'ennemi tous les moyens de s'en dispenser Chapitre XIII. Qui doit inspirer plus de confiance, ou d'un bon general qui a une mauvaise armee, ou d'une bonne armee commandee par un mauvais general Chapitre XIV. Effet que produisent au milieu d'une bataille des stratagemes nouveaux et des paroles imprevues Chapitre XV. Il ne faut a une armee qu'un seul chef. Un plus grand nombre nuit Chapitre XVI. Dans les temps difficiles on recherche le merite, mais quand tout est paisible, la faveur est, non pour les hommes vertueux, mais pour ceux qui ont, ou des richesses, ou des parents puissants Chapitre XVII. Un Etat, apres avoir offense un citoyen, ne doit pas lui confier un commandement ou toute autre commission importante Chapitre XVIII. Le plus grand talent d'un habile general est de savoir deviner les desseins de l'ennemi Chapitre XIX. Les voies de la douceur sont-elles preferables aux voies de rigueur pour gouverner la multitude Chpitre XX. Un trait d'humanite fit plus d'impression sur les Falisques que toute la puissance des Romains Chapitre XXI. Pourquoi Annibal avec une conduite opposee a celle de Scipion eut en Italie les memes succes que ce general romain en Espagne Chapitre XXII. Comment la severite de Manlius Torquatus et la douceur de Valerius Corvinus les couvrirent egalement de gloire Chapitre XXIII. Causes du bannissement de Camille Chapitre XXIV. La prolongation du commandement militaire fit perdre a Rome sa liberte Chapitre XXV. Pauvrete de Cincinnatus et de plusieurs citoyens romains Chapitre XXVI. Comment les femmes sont la cause de la ruine d'un Etat Chapitre XXVII. Moyen de retablir l'union dans une ville. Il est faux que la desunion soit necessaire pour y conserver son autorite Chapitre XXVIII. Que l'on doit surveiller les actions des citoyens, parce que souvent celle qui parait vertueuse recele un principe de tyrannie Chapitre XXIX. Les fautes des peuples viennent de celles des princes Chapitre XXX. Qu'un citoyen qui veut etre utile a sa republique par quelque action particuliere doit d'abord imposer silence a l'envie. Moyen de defendre une ville a l'approche d'un ennemi qui la menace Chapitre XXXI. Les grands hommes et les republiques bien constituees conservent le meme courage au sein de la prosperite et dans les revers Chapitre XXXII. Moyens employes pour rendre la paix impossible Chapitre XXXIII. Pour gagner une bataille, il faut que les troupes soient remplies de confiance, et en elles-memes, et en leur general Chapitre XXXIV. Comment la reputation, la voix publique, l'opinion, concilient d'abord a un citoyen la faveur populaire. Le peuple fait-il pour les places, de meilleurs choix que les princes—Chapitre XXXV. Danger de conseiller une entreprise, toujours proportionne a la grandeur de cette entreprise Chapitre XXXVI. Pourquoi a-t-on regarde les anciens Gaulois, et regarde-t-on encore les Français, comme etant plus que des hommes au commencement d'un combat et moins que des femmes vers la fin Chapitre XXXVII. De petits combats sont-ils necessaires avant d'en venir a une action generale—Si on veut les eviter, comment faut-il s'y prendre pour connaitre un ennemi auquel on a affaire pour la premiere fois—Chapitre XXXVIII. Qualites necessaires a un general pour obtenir la confiance de ses soldats Chapitre XXXIX. Il faut qu'un general connaisse le pays ou il fait la guerre Chapitre XL. A la guerre, la ruse merite des eloges Chapitre XLI. Il faut defendre la patrie, soit avec ignominie, soit avec gloire. Tous moyens sont bons, pourvu qu'elle soit defendue Chapitre XLII. Les promesses arrachees par la force ne doivent point etre observees Chapitre XLIII. Les habitants d'un meme pays conservent toujours a peu pres le meme caractere Chapitre XLIV. L'audace et l'impetuosite emportent souvent ce que l'on n'obtiendrait point par des moyens ordinaires Chapitre XLV. Est-il plus avantageux de soutenir d'abord le choc de l'ennemi, et de l'attaquer ensuite vivement, que de commencer le combat avec impetuosite—Chapitre XLVI. Pourquoi le meme caractere se conserve-t-il assez longtemps dans les familles d'une meme cite Chapitre XLVII. L'amour de la patrie doit faire oublier a un bon citoyen les inimities particulieres Chapitre XLVIII. Une faute trop marquee et trop grossiere de la part de l'ennemi doit faire soupconner un piege Chapitre XLIX. Une republique qui veut se conserver libre doit prendre chaque jour de nouvelles precautions. Services qui meriterent a Quintus Fabius le surnom de Maximus

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