Ainsi parla l'Oncle suivi de Revisiter l'Oncle: suivi de Revisiter l'Oncle

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Overview

Ainsi parla l'Oncle, premier manifeste de la négritude, paru en 1928, est le grand livre sur la condition noire, sur la relation à l'Afrique et à sa culture. Lire aujourd'hui Ainsi parla l'Oncle pour découvrir un geste essentiel. Revisiter l'Oncle Vingt-quatre auteurs relisent Ainsi parla l'Oncle et Price-Mars: Maryse Condé, Dany Laferrière, Jean-Daniel Lafond, Raphaël Confiant, André Corten, Laënnec Hurbon, Jean Bernabé, Léon-François Hoffmann, Maximilien Laroche, Jean Morisset, Romuald Fonkoua, Alain Anselin, Carlo A. Célius, Asselin Charles, J.Michael Dash, Lilian Pestre de Almeida, Milagros Ricourt, Joëlle Vitiello, Eloise A. Brière, Kunio Tsunekawa, Joël Des Rosiers, Françoise Naudillon, Hérold Toussaint, Christiane Ndiaye.

Product Details

ISBN-13: 9782897120047
Publisher: Mémoire d'encrier
Publication date: 09/06/2013
Sold by: De Marque
Format: eBook
Pages: 520
File size: 6 MB
Language: French

About the Author

Professeure, Lilian Pestre de Almeida est docteure ès lettres de Paris IV, et a complété ses études post-doctorales à Lille III (Littérature et arts plastiques). Elle a enseigné le français, la littérature française et les littératures francophones au Brésil, en France et au Québec. Elle est la traductrice d’Aimé Césaire, de Léon Gontran Damas, d’Édouard Glissant et d’Anne Hébert en portugais. Elle a traduit les poètes brésiliens Manuel Bandeira, João Cabral de Mello Neto en français. Elle publie sur la négritude antillaise, sur la littérature des marranes, sur les rapports entre francophonie et lusophonie, et sur l’iconographie.
Professeure titulaire à l’Université de Montréal, Christiane Ndiaye y enseigne les littératures francophones de la Caraïbe, de l’Afrique subsaharienne et du Maghreb. Elle a publié un recueil d’essais sur les littératures francophones, Danses de la parole, et de multiples articles, ainsi que six volumes collectifs : La représentation ambiguë : configurations du récit africain, en collaboration avec Lise Gauvin et Josias Semujanga, Émile Ollivier : écrire l’infini des possibles avec Nadia Chalem, Joubert Satyre et Josias Semujanga, Questions de réception des littératures francophones et Configurations discursives et parcours figuratifs du roman africain. Elle est actuellement chercheur principale du projet «Mythes et stéréotypes dans la réception des littératures francophones» et co-chercheur dans le projet «Dynamiques transgressives des genres populaires en francophonie.
Jean Morisset, né à l’hiver 1940 sur les rives du Grand Fleuve, à Bellechasse-en-Canada, avant l’ouverture des routes, est écrivain, géographe et nomade. Parmi ses publications, citons Métis Witness to the North (Vancouver, Tillacum Library, 1986) et Chants polaires (Leméac / Actes Sud, 2002). En quête de la mémoire géographique analphabète, il poursuit une vaste interrogation sur le destin et l’aventure métisse dans une perspective « amériquaine », depuis les terres arctiques jusqu’aux terres de braise en passant par la Caraïbe et le pays secret des mille promesses. Aux éditions Mémoire d’encrier, il a fait paraître Les chiens s’entre-dévorent… (2009) et Haïti délibérée (2011).
Léon-François Hoffmann est professeur émérite de littératures française et haïtienne à l’Université de Princeton. Spécialiste dans l’étude des mentalités collectives à l’époque romantique, puis dans celle de la culture et de la littérature haïtiennes, il a publié plusieurs essais dont Le Nègre romantique (1961) couronné par l’Académie française, Le roman haïtien (1962), Haïti : couleurs, croyances, créole (1989), Haïti : lettres et l’être (1992), Frédéric Marcelin. Un Haïtien se penche sur son pays (2006).
André Corten est professeur de science politique et d’analyse du discours à l’Université du Québec à Montréal et chercheur associé à l’IRD (Institut de recherche sur le développement, Paris), André Corten a publié de nombreux ouvrages à Paris, à Montréal, à Londres et en Amérique latine portant sur les catégories politiques en formation dans les pays du Sud. Depuis trente ans, André Corten suit l’évolution de la société haïtienne à laquelle il a consacré une vingtaine d’articles et deux livres. Il est l’auteur de Misère, religion et politique en Haïti (2001), Planète misère, Chroniques de la pauvreté durable (2006), L’autre moitié de l’Amérique du Sud. Lettres à mon petit-fils (2008).
Né en 1951 à la Martinique, Raphaël Confiant est romancier, essayiste et conteur. Après des études de sciences politiques et d’anglais, il devient maître de conférence à l'Université des Antilles et de la Guyane et milite pour la cause créole dès les années 1970. Raphaël Confiant oeuvre également dans le domaine de l’écrit créole. Confiant a d’abord écrit des romans en créole dont certains ont été traduits dans les années 1990 en français. Il est, avec Jean Bernabé et Patrick Chamoiseau, le co-fondateur du Mouvement de la Créolité. Membre du GEREC (Groupe d'études et de recherches en espace créolophone) ,il a signé en 1989 en collaboration avec ces deux derniers l’Éloge de la créolité. Il est l’auteur d’une oeuvre de toute importance : romans, essais, traductions, etc.
Maryse Condé, née le 11 février 1937 à Pointe-à-Pitre (Guadeloupe), a étudié les Lettres Classiques à la Sorbonne. En 1960, elle part pour la Guinée où elle affronte les problèmes inhérents aux États nouvellement indépendants. Son périple africain l’amènera au Ghana et au Sénégal. Elle revient en France en 1973, avec ses quatre enfants, elle se remarie à Richard Philcox, qui deviendra le traducteur en anglais de la majorité de son oeuvre. Elle enseigne dans diverses universités et entame une carrière de romancière. Professeur de littérature à Columbia University, ses oeuvres principales sont Heremakhonon (1976), Ségou (2 volumes, 1984-85), Desirada (1997), Célanire cou-coupé (2000), Victoire, les saveurs et les mots (2006), Les belles Ténébreuses (2008). Elle vit aujourd'hui entre New York et Paris.
Jean Bernabé est né au Lorrain en Martinique en 1942. Écrivain et linguiste, il est le co-fondateur avec Patrick Chamoiseau et Raphaël Confiant du mouvement littéraire « La Créolité ». Il a été durant plusieurs années le Doyen de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l'Université des Antilles et de la Guyane. En 1983, il publie Fondal Natal, la première thèse de Doctorat sur le créole antillais. En 1989, il signe avec Chamoiseau et Confiant, l’important manifeste Éloge de la créolité. Il participe ensuite à la reconnaissance du créole dans le milieu universitaire et scolaire par l'intermédiaire de la création du CAPES de créole. Fondateur du GEREC-F (Groupe de recherches et d'études en espace créole et francophone), il est l’auteur d’importants ouvrages dans le domaine de la syntaxe du créole, ainsi que de nombreux articles de sociolinguistique et de littérature.
Jean Price-Mars (1876-1969), médecin, ethnologue, diplomate, homme d’état, pédagogue et écrivain, est considéré comme le principal maître à penser de la condition noire du XXe siècle.
Fondées à Montréal en mars 2003 par l’écrivain Rodney Saint-Éloi, les éditions Mémoire d’encrier se sont fixé pour mandat de réunir des auteur.e.s de diverses origines autour d’une seule et même exigence : l’authenticité des voix. Mémoire d’encrier est ce lieu-carrefour où se tissent rencontres, dialogues et échanges pour que les voix soient visibles et vivantes. Mémoire d’encrier publie de la fiction : roman, récit, nouvelle; aussi de la poésie; des essais et des chroniques. Un catalogue diversifié aménage des passerelles entre cultures et imaginaires du monde. Mémoire d’encrier publie des auteur.e.s québécois.e.s, autochtones, antillais.e.s, arabes, africain.e.s… représentant ainsi une large plate-forme où se confrontent les imaginaires dans l’apprentissage et le respect de la différence et de la diversité culturelle. Mémoire d’encrier propose de penser l’autre autrement, l’autre au pluriel, en ouvrant de multiples fenêtres sur le monde, ceci de manière décomplexée. Dans nos sociétés actuelles, rien ne manque plus que le dialogue. C’est dans cet esprit que Mémoire d’encrier travaille à sensibiliser, diffuser et promouvoir une pensée et un espace de la diversité, mettant en circulation les littératures de la diversité, les valeurs du vivre-ensemble et en confrontant l’histoire, le racisme et les inégalités. À travers le catalogue de Mémoire d’encrier et les initiatives (ateliers, conférences, rendez-vous littéraires…), un pont entre générations (visions et expériences) est en œuvre. Le projet est de rompre avec les habitudes et les privilèges d’un milieu éditorial autocentré et uniformisé pour élargir les horizons, ouvrant ainsi les portes sur un monde pluriel et diversifié. L’ambition : rassembler les continents et les humains pour repousser la peur, la solitude et le repli pour pouvoir imaginer et oser inventer un monde neuf.
Écrivain, membre de l’Académie française, Prix Médicis en 2009 pour le roman L’énigme du retour, Dany Laferrière est l’auteur d’une oeuvre remarquable, traduite dans le monde entier. Dany Laferrière, né à Port-au-Prince en Haïti, a passé son enfance à Petit-Goâve avec sa grand-mère Da. Il vit à Montréal. Les vingt-cinq livres qu’il a publiés depuis Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer (VLB, 1985) n’en forment qu’un seul. « L’autobiographie américaine» de Dany Laferrière est composée de romans, de livres jeunesse, de chroniques, de poèmes et d’entretiens. Il poursuit avec Tout bouge autour de moi (Mémoire d’encrier/Grasset, 2010), L’Art presque perdu de ne rien faire (Boréal 2011), Chronique de la dérive douce (Boréal/Grasset, 2012), Journal d’un écrivain en pyjama (Mémoire d’encrier/Grasset, 2013), ajoutant d’autres pièces importantes à son oeuvre.
Cinéaste, écrivain, homme de radio et de théâtre, ex-professeur de philosophie, Jean-Daniel Lafond est aussi un collaborateur très actif depuis 2005 auprès de son épouse Son Excellence la très honorable Michaëlle Jean, gouverneure générale du Canada. Primés dans de nombreux festivals nationaux et internationaux, ses films s’inscrivent dans la continuité du cinéma documentaire de création : Les traces du rêve (1985), Le voyage au bout de la route ou La ballade du pays qui attend (1987), Le visiteur d’un soir (1988), La manière nègre ou Aimé Césaire, chemin faisant (1991), Tropique Nord (1994 La liberté en colère (1994), Haïti dans tous nos rêves (1995 ), L’heure de Cuba (1999 ), Le temps des barbares (1999), Salam Iran, une lettre persane (2002), Le faiseur de théâtre, (France, 2002), Le cabinet du Docteur Ferron (2003), Le fugitif ou les vérités d'Hassan (2006), Folle de Dieu (2008). Il a développé une oeuvre radiophonique originale (à France-Culture et à Radio-Canada), a fait des incursions au théâtre comme auteur et comédien (Près du sol, France, 2000-), La déraison 510 d’amour (2008). Derniers livres publiés : Iran, les mots du silence (en coll. avec Fred A. Reed, 2006), Conversations in Tehran (2006). Il a reçu le prix Lumières en 1999 pour sa contribution au cinéma québécois. Il est Compagnon de l’Ordre du Canada (2005), la plus haute distinction honorifique canadienne.
Né à Jacmel (Haïti), Laënnec Hurbon est docteur en Théologie (Institut catholique de Paris) et en Sociologie (Sorbonne). Il est directeur de 509 recherches au CNRS et professeur à l’Université Quisqueya de Port-au-Prince, dont il est l’un des membres fondateurs. Laënnec Hurbon est spécialiste des rapports entre religion, culture et politique dans la Caraïbe et auteur de plusieurs ouvrages dont Dieu dans le vaudou haïtien (1972), Culture et pouvoir dans la Caraïbe (1975), Comprendre Haïti (1987), Le barbare imaginaire (1987), Les mystères du vaudou (1993).
Né au Cap-Haïtien, il a fait ses études supérieures en Haïti, au Québec et en France. Docteur de l’Université de Toulouse, il est professeur à la Faculté des Lettres de l’Université Laval, à Québec. Il dirige le Groupe de recherche sur les littératures de la Caraïbe (GRELCA). Il a publié notamment : Le miracle et la métamorphose (1970), L’image comme écho (1978), Littérature haïtienne, identité, langue, réalité (1981), Sémiologie des apparences (1994), L’avènement de la littérature haïtienne (1987), La découverte de l’Amérique par les Américains (1989), La double scène de la représentation (1991), Dialectique de l’américanisation (1993), Teke (2001), Mythologie haïtienne (2002), Prensip Marasa (2004), Littérature haïtienne comparée (2007) et Se nan chimen jennen yo fè lagè (2007).
Professeur de littérature française et francophone, Romuald Fonkoua dirige l’Institut de Littérature française à l’université de Strasbourg (France). Il est l’auteur de nombreux articles publiés dans des revues spécialisées (Journal of Francophone Studies, Cahiers d’études africaines, Revue de littérature générale et comparée ou Revue des littératures du Sud) et de plusieurs essais consacrés aux littératures d’Afrique, des Caraïbes et des Amériques noires. Il est par ailleurs rédacteur en chef de la revue Présence africaine. Son dernier opus est la réédition avec une longue introduction du roman de Gabriel Mailhol paru pour la première fois en 1764, Le philosophe nègre et les secrets des Grecs. Ouvrage trop nécessaire en deux parties (2008).
Égyptologue, membre du Writing Workshop et du Potmarks Workshop, Alain Anselin a publié de nombreux articles sur la civilisation pharaonique. Il a fondé l’enseignement de l’égyptien ancien en sciences du langage à l’Université des Antilles Guyane et la revue internationale les Cahiers Caribéens d’Égyptologie. Anthropologue, membre du Comité de rédaction de Présence Africaine et du groupe de travail la Route de la Traite (ICMAH), il a co-signé un documentaire (1998) et publié de nombreuses recherches sur les résistances africaines à la traite. On lui doit enfin des travaux sur l’émigration antillaise en France, publiés notamment dans la revue Carbet.
Historien et historien de l’art, Carlo A. Célius est chercheur affilié au CELAT (Université Laval, Québec). Il est l’auteur de Langage plastique et énonciation identitaire. L’invention de l’art haïtien (2007). Ont paru également sous sa direction : Situations créoles. Pratiques et représentations (2006), Haïti : face au passé/Confronting the Past, (2006), Haïti et l’anthropologie, (2005).
Asselin Charles est actuellement Professeur agrégé de langue et de littérature au Collège Mount Olive en Caroline du Nord. Avant d’occuper ce poste, Asselin Charles enseigna l’anglais, le français et la littérature dans un certain nombre de collèges et d’universités au Canada (Collège Humber), aux États-Unis (l’Université d’État de la Pennsylvanie, l’Université Brown) et à Taïwan (l’Université Nationale de Pingtung, le Collège Wenzao). Il se spécialise dans les littératures postcoloniales et dans la traduction littéraire. Il a traduit en anglais les oeuvres d’Anténor Firmin, de René Depestre et de Frankétienne.
Né à Trinidad, J. Michael Dash est professeur de français et de littérature francophone au département de français de New York University. Ses champs d’intérêts sont la littérature francophone, la littérature des Caraïbes et la théorie littéraire. Il a traduit en anglais La lézarde (1985), Discours antillais (1989) et Monsieur Toussaint (2005) d’Édouard Glissant. Il a publié entre autres titres Literature and Ideology in Haiti (1981), Haiti and the United States (1988), 508 Edouard Glissant (1995), The Other America: Caribbean Literature in a New World Context (1998) and Culture and Customs of Haiti (2001).
Milagros Ricourt est née en République Dominicaine et réside aux États-Unis depuis 1985. Ricourt compléta son doctorat en sociologie au Graduate Center de la City University of New York en 1995. Elle est l’auteure des Hispaniques de Queens : La pan-ethnicité latine dans un quartier de la ville de New York (2003) et de Pouvoir des marges : Les Dominicains dans la ville de New York (2002). Elle est actuellement directrice du Département des Études latino-américaines et caribéennes au College Lehman de la City University de New York.
Joëlle Vitiello est professeure associée à Macalester College (Minnesota). Spécialiste de littérature haïtienne, ses publications incluent des articles sur Gérard Etienne, Émile Ollivier, Dany Laferrière, Yanick Lahens, Jan J. Dominique, Kettly Mars, Lyonel Trouillot, la littérature post-duvaliériste, Joël Desrosiers, Yanick Jean. Elle a publié une Bibliographie des auteures haïtiennes dans le Bulletin Women In French (2000). Elle a co-édité avec Susanne Rinne Elles écrivent des Antilles (Haïti, Guadeloupe, Martinique (1997). Ses recherches actuelles portent sur les transformations du rôle des écrivains haïtiens au vingtième siècle.
Née au Massachusetts (États-Unis), Eloise A. Brière est professeure de littératures francophones à l’Université d’Albany. Elle obtient son doctorat en littératures francophones de l’Université de Toronto (Canada). Lauréate d’une bourse Fulbright, elle fait des recherches au Cameroun (Le roman camerounais et ses discours, Paris, 1993) et a publié des articles sur la littérature transnationale haïtienne (Écrire en pays assiégé: Haïti, 2004), postcoloniale (Postcolonial Theory and Francophone Literary Studies, 2004) ainsi que sur l’excision (Female Circumcision and the Politics of Knowledge, 2005).
Kunio Tsunekawa, professeur émérite à l’Université Hitotsubashi (Tokyo), est spécialiste de Paul Valery et des littératures de l’Afrique noire et de la mer des Caraïbes. Il est auteur de nombreux livres et articles consacrés à Paul Valery et aux grands auteurs de la francophonie, dont Frankétienne. Il est aussi connu comme traducteur d’Aimé Césaire, de Léopold Sédar Senghor, d’Édouard Glissant et de Patrick Chamoiseau en japonais.
Né aux Cayes (Haïti) le 26 octobre 1951, Joël Des Rosiers est médecin, poète et essayiste. Il a grandi au Québec et a étudié en France. Il est l’auteur de cinq recueils de poèmes Métropolis Opéra (1987), Tribu (1990), Savanes (1993), Vétiver (1999), Caïques (2007), et de deux essais Théories caraïbes (1996) et Métaspora, les patries intimes (2013), publiés chez Tryptique. Il a publié (en collaboration avec Patricia Léry) le récit Un autre soleil. Joël Des Rosiers vit à Montréal. Il partage sa vie entre l’exercice de la psychiatrie, la recherche clinique et la littérature.
Françoise Naudillon est professeure au Département d’Études françaises de l’Université Concordia et spécialiste des littératures francophones et de leur réception. Elle travaille en particulier sur le roman policier, les littératures populaires et les rapports entre cinéma et littératures. Elle a publié de nombreux articles dans des revues internationales et parmi ses dernières publications, l’on peut citer Femmes en francophonie, Écriture et lecture du féminin dans les littératures francophones (Isaac Bazié co-directeur, 2014) et Jean Metellus et le miroir du monde (2015). En 2016 elle a dirigé le n° spécial de Nouvelles études francophones consacré aux « Autofictions francophones » et en 2018 le numéro spécial de Présence Francophone consacré aux « Pratiques des cinémas francophones contemporains – Afrique/Antilles ».
Hérold Toussaint, docteur en sociologie et chercheur en communication sociale, il enseigne à l’Université d’État d’Haïti. Il est professeur invité à l’Université Laval (Québec). Il coordonne le Collectif des universitaires citoyens (CUCI) dont le but consiste à encourager les étudiantes dans le champ des sciences sociales et à publier leurs travaux de recherche. Il a publié entre autres textes Violence et État moderne. L’espoir de la raison en Haïti, Port-au-Prince, Deschamps, 2006.
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