Notice biographique :
Née en 1969 à Tanger, Hadbaa Elfatemi a rejoint l’école à l’âge précoce de 4 ans. Férue de lecture dès l’âge de six ans, elle a parcouru les grands classiques de la littérature arabe d’abords puis française. Caressant le rêve de devenir styliste elle s’est envolée pour Paris en 1986 pour revenir vivre the Moroccan dream avec une carrière d’assistante de direction qui a duré 25 ans dont la dernière moitié avec des activités artistiques suivies. Actuellement, elle est spécialisée comme coach personnel et professionnel parallèlement à ses activités artistiques de peintre, poétesse et écrivaine auteur de dix ouvrages en arabe et en français.
Titulaire d’un baccalauréat en sciences expérimentales obtenu au lycée Ibn Al Khatib, en l’an 1985, elle a réussi à décrocher le prix Garcia Lorca 2000 de la poésie en langue française, puis le prix Les auteurs inaperçus du Maghreb 2005 de la nouvelle publié sur le tome Maroc III des éditions Marsan.
Depuis 2002, elle publie à compte d’auteur. Elle a commencé par « la parfaite secrétaire » autobiographie professionnelle comique où elle s’est moquée de son parcours parmi quelque unes des plus grandes sociétés étrangères du Maroc.
En 2003, elle a publié « le foulard islamique » roman comique où on assiste à un tribunal qui juge Nour «voilée » pour son crime contre l’humanité. Ce roman adapté facilement en pièce de théâtre a été joué par la troupe d’amatrice « lueur d’espoir » à Casablanca en 2005 au théâtre du centre culturel Mohamed Zefzaf.
Cette même année elle a publié en masse trois recueils de poésie Zamanou annissae en arabe, mal d’aimer en français-espagnol-anglais et nabadate, en arabe.
En 2008, elle a publié sur la chronique du nord une série d’articles hebdomadaires sous le titre « la chronique d’Hadbaa ».
Le reste des ouvrages, le recueil de poésie en français 2007 « temps de femmes », en 2011 publication du recueil en arabe « al hobbo ale majenoun », le recueil en français-espagnol-anglais « j’aime la vie » et puis le recueil de nouvelles en français « le cri des mouettes ».
Le cri des mouettes a été présenté à l’institut français le 19 février 2014 en une séance lecture-présentation.
Pour ce qui de la peinture sur toile, Hadbaa Elfatemi a une série de peintures huile sur toile de portraits de femmes voilées dont Nour l’héroïne du « foulard islamique ». Elle a exposé ses peinture à l’hôtel Royal Minzah 5* le 26 mars 2011 lors d’un récital-vernissage dédié à ses œuvres.
Son intérêt pour le coaching a commencé réellement depuis la lecture à cinq ans de la série Seif dou yazan où elle a compris que l’impossible est long à atteindre mais cela ne veut pas dire que l’on ne pas y arriver. Si on croit à une chose, elle finit par se réaliser même s’il faut la tirer par le bout du nez.
Actuellement, artiste-coach, comme elle l’indique sur sa carte de visite, elle véhicule l’art du coaching en survolant Tanger Métropole entre les activités associatives, littéraires, picturales et le coaching de vie et celui des entreprises dont elle a traversé 16 sans exagération aucune et où elle a constaté beaucoup de choses à améliorer aussi bien du point de vue des dirigeants que celui des employés.
Depuis mai 2013, elle a une chaîne Youtube/hadbaa elfatemi avec la diffusion de poésie avec sa voix.