Les lettres de Stark Munro: Le malheure de la maladie frappe la famille Doyle
Autobiographie, traité de morale personnelle et confession spirituelle.
Au début des années 1890, tout semble sourire à la famille Doyle. Le succès littéraire est là, deux enfants sont nés, Arthur peut savourer sa réussite ; réussite d’autant plus méritée qu’il ne la doit qu’à son talent et à sa persévérance. La maladie est un coup de tonnerre dans ce bonheur ; fidèle à son caractère, Arthur fait front, et cherche un sens à ce malheur, une façon de le maîtriser au lieu de le subir. Lorsqu’il décide de raconter la vie de Stark Munro, il écrit à la fois une autobiographie et un traité de morale personnelle. Mais au-delà du simple récit autobiographique, Les Lettres sont pour Arthur une véritable confession spirituelle. Il y expose les principes qu’il défend depuis son adolescence et maintiendra tout au long de sa vie : la liberté pour chacun de choisir sa propre foi, la générosité envers le plus faible, un rapport d’égalité dans le couple entre l’homme et la femme.
Plongez dans ces lettres rédigées par Arthur Conan Doyle et découvrez-y le récit d'une partie de sa vie, mais également l'exposition des principes de liberté, d'égalité et de générosité qu'il défendit tout au long de sa vie.
EXTRAIT
Naturellement, je lui disais que ses opinions étaient diaboliques, mais surtout depuis que j’ai été mis en garde par sa femme, je réduis ses propos à leur juste valeur.
Il est sérieux quand il commence, mais peu à peu, la pente à l’exagération s’accentue chez lui, et il finit par dire des choses que jamais il n’émettrait, étant de sang-froid. Mais il n’en reste pas moins un fait, c’est que nous différons énormément dans notre façon de considérer la vie médicale, et je crains que cela ne nous cause un jour des difficultés.
Vous ne vous imagineriez guère ce que nous avons fait tout dernièrement. Eh bien, nous avons bâti une écurie, rien que cela.
Cullingworth voulait en avoir une seconde dans sa maison d’affaires, autant pour les malades que pour ses chevaux, je crois, et comme il met de l’audace en tout ce qu’il fait, il a décidé qu’il la bâtirait lui-même.
Nous nous y sommes donc mis, lui, moi, le cocher, Mistress Cullingworth, et la femme du cocher.
Nous avons creusé les fondations, apporté des briques par charretées, fabriqué nous-même le mortier, et je crois que nous ne nous en tirerons pas trop mal.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Diplômée en lettres et en linguistique, Marianne Stjepanovic-Pauly est documentaliste pendant une dizaine d’années. Mais à la vie de bureau, elle préfère la compagnie des enfants et des livres. Passionnée par les mots et par la littérature, elle écrit les histoires qu’elle invente pour ses fils, des contes et des nouvelles. Elle trouve aujourd’hui dans la rédaction d’une biographie la possibilité d’explorer ses domaines de prédilection : la littérature, l’écriture et l’histoire.
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Au début des années 1890, tout semble sourire à la famille Doyle. Le succès littéraire est là, deux enfants sont nés, Arthur peut savourer sa réussite ; réussite d’autant plus méritée qu’il ne la doit qu’à son talent et à sa persévérance. La maladie est un coup de tonnerre dans ce bonheur ; fidèle à son caractère, Arthur fait front, et cherche un sens à ce malheur, une façon de le maîtriser au lieu de le subir. Lorsqu’il décide de raconter la vie de Stark Munro, il écrit à la fois une autobiographie et un traité de morale personnelle. Mais au-delà du simple récit autobiographique, Les Lettres sont pour Arthur une véritable confession spirituelle. Il y expose les principes qu’il défend depuis son adolescence et maintiendra tout au long de sa vie : la liberté pour chacun de choisir sa propre foi, la générosité envers le plus faible, un rapport d’égalité dans le couple entre l’homme et la femme.
Plongez dans ces lettres rédigées par Arthur Conan Doyle et découvrez-y le récit d'une partie de sa vie, mais également l'exposition des principes de liberté, d'égalité et de générosité qu'il défendit tout au long de sa vie.
EXTRAIT
Naturellement, je lui disais que ses opinions étaient diaboliques, mais surtout depuis que j’ai été mis en garde par sa femme, je réduis ses propos à leur juste valeur.
Il est sérieux quand il commence, mais peu à peu, la pente à l’exagération s’accentue chez lui, et il finit par dire des choses que jamais il n’émettrait, étant de sang-froid. Mais il n’en reste pas moins un fait, c’est que nous différons énormément dans notre façon de considérer la vie médicale, et je crains que cela ne nous cause un jour des difficultés.
Vous ne vous imagineriez guère ce que nous avons fait tout dernièrement. Eh bien, nous avons bâti une écurie, rien que cela.
Cullingworth voulait en avoir une seconde dans sa maison d’affaires, autant pour les malades que pour ses chevaux, je crois, et comme il met de l’audace en tout ce qu’il fait, il a décidé qu’il la bâtirait lui-même.
Nous nous y sommes donc mis, lui, moi, le cocher, Mistress Cullingworth, et la femme du cocher.
Nous avons creusé les fondations, apporté des briques par charretées, fabriqué nous-même le mortier, et je crois que nous ne nous en tirerons pas trop mal.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Diplômée en lettres et en linguistique, Marianne Stjepanovic-Pauly est documentaliste pendant une dizaine d’années. Mais à la vie de bureau, elle préfère la compagnie des enfants et des livres. Passionnée par les mots et par la littérature, elle écrit les histoires qu’elle invente pour ses fils, des contes et des nouvelles. Elle trouve aujourd’hui dans la rédaction d’une biographie la possibilité d’explorer ses domaines de prédilection : la littérature, l’écriture et l’histoire.
Les lettres de Stark Munro: Le malheure de la maladie frappe la famille Doyle
Autobiographie, traité de morale personnelle et confession spirituelle.
Au début des années 1890, tout semble sourire à la famille Doyle. Le succès littéraire est là, deux enfants sont nés, Arthur peut savourer sa réussite ; réussite d’autant plus méritée qu’il ne la doit qu’à son talent et à sa persévérance. La maladie est un coup de tonnerre dans ce bonheur ; fidèle à son caractère, Arthur fait front, et cherche un sens à ce malheur, une façon de le maîtriser au lieu de le subir. Lorsqu’il décide de raconter la vie de Stark Munro, il écrit à la fois une autobiographie et un traité de morale personnelle. Mais au-delà du simple récit autobiographique, Les Lettres sont pour Arthur une véritable confession spirituelle. Il y expose les principes qu’il défend depuis son adolescence et maintiendra tout au long de sa vie : la liberté pour chacun de choisir sa propre foi, la générosité envers le plus faible, un rapport d’égalité dans le couple entre l’homme et la femme.
Plongez dans ces lettres rédigées par Arthur Conan Doyle et découvrez-y le récit d'une partie de sa vie, mais également l'exposition des principes de liberté, d'égalité et de générosité qu'il défendit tout au long de sa vie.
EXTRAIT
Naturellement, je lui disais que ses opinions étaient diaboliques, mais surtout depuis que j’ai été mis en garde par sa femme, je réduis ses propos à leur juste valeur.
Il est sérieux quand il commence, mais peu à peu, la pente à l’exagération s’accentue chez lui, et il finit par dire des choses que jamais il n’émettrait, étant de sang-froid. Mais il n’en reste pas moins un fait, c’est que nous différons énormément dans notre façon de considérer la vie médicale, et je crains que cela ne nous cause un jour des difficultés.
Vous ne vous imagineriez guère ce que nous avons fait tout dernièrement. Eh bien, nous avons bâti une écurie, rien que cela.
Cullingworth voulait en avoir une seconde dans sa maison d’affaires, autant pour les malades que pour ses chevaux, je crois, et comme il met de l’audace en tout ce qu’il fait, il a décidé qu’il la bâtirait lui-même.
Nous nous y sommes donc mis, lui, moi, le cocher, Mistress Cullingworth, et la femme du cocher.
Nous avons creusé les fondations, apporté des briques par charretées, fabriqué nous-même le mortier, et je crois que nous ne nous en tirerons pas trop mal.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Diplômée en lettres et en linguistique, Marianne Stjepanovic-Pauly est documentaliste pendant une dizaine d’années. Mais à la vie de bureau, elle préfère la compagnie des enfants et des livres. Passionnée par les mots et par la littérature, elle écrit les histoires qu’elle invente pour ses fils, des contes et des nouvelles. Elle trouve aujourd’hui dans la rédaction d’une biographie la possibilité d’explorer ses domaines de prédilection : la littérature, l’écriture et l’histoire.
Au début des années 1890, tout semble sourire à la famille Doyle. Le succès littéraire est là, deux enfants sont nés, Arthur peut savourer sa réussite ; réussite d’autant plus méritée qu’il ne la doit qu’à son talent et à sa persévérance. La maladie est un coup de tonnerre dans ce bonheur ; fidèle à son caractère, Arthur fait front, et cherche un sens à ce malheur, une façon de le maîtriser au lieu de le subir. Lorsqu’il décide de raconter la vie de Stark Munro, il écrit à la fois une autobiographie et un traité de morale personnelle. Mais au-delà du simple récit autobiographique, Les Lettres sont pour Arthur une véritable confession spirituelle. Il y expose les principes qu’il défend depuis son adolescence et maintiendra tout au long de sa vie : la liberté pour chacun de choisir sa propre foi, la générosité envers le plus faible, un rapport d’égalité dans le couple entre l’homme et la femme.
Plongez dans ces lettres rédigées par Arthur Conan Doyle et découvrez-y le récit d'une partie de sa vie, mais également l'exposition des principes de liberté, d'égalité et de générosité qu'il défendit tout au long de sa vie.
EXTRAIT
Naturellement, je lui disais que ses opinions étaient diaboliques, mais surtout depuis que j’ai été mis en garde par sa femme, je réduis ses propos à leur juste valeur.
Il est sérieux quand il commence, mais peu à peu, la pente à l’exagération s’accentue chez lui, et il finit par dire des choses que jamais il n’émettrait, étant de sang-froid. Mais il n’en reste pas moins un fait, c’est que nous différons énormément dans notre façon de considérer la vie médicale, et je crains que cela ne nous cause un jour des difficultés.
Vous ne vous imagineriez guère ce que nous avons fait tout dernièrement. Eh bien, nous avons bâti une écurie, rien que cela.
Cullingworth voulait en avoir une seconde dans sa maison d’affaires, autant pour les malades que pour ses chevaux, je crois, et comme il met de l’audace en tout ce qu’il fait, il a décidé qu’il la bâtirait lui-même.
Nous nous y sommes donc mis, lui, moi, le cocher, Mistress Cullingworth, et la femme du cocher.
Nous avons creusé les fondations, apporté des briques par charretées, fabriqué nous-même le mortier, et je crois que nous ne nous en tirerons pas trop mal.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Diplômée en lettres et en linguistique, Marianne Stjepanovic-Pauly est documentaliste pendant une dizaine d’années. Mais à la vie de bureau, elle préfère la compagnie des enfants et des livres. Passionnée par les mots et par la littérature, elle écrit les histoires qu’elle invente pour ses fils, des contes et des nouvelles. Elle trouve aujourd’hui dans la rédaction d’une biographie la possibilité d’explorer ses domaines de prédilection : la littérature, l’écriture et l’histoire.
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Product Details
ISBN-13: | 9782352844518 |
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Publisher: | Jasmin |
Publication date: | 08/01/2018 |
Sold by: | Barnes & Noble |
Format: | eBook |
Pages: | 250 |
File size: | 2 MB |
Language: | French |
About the Author
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